Fresque contre les violences faites aux femmes au lycée

par B. Burlon

La classe de 1STMG2 a le plaisir de vous présenter sa fresque contre les violences faites aux femmes réalisée la semaine du 13 novembre 2023.

Cette fresque est le résultat final d’un travail de prévention pluridisciplinaire sur un sujet de société.
Les élèves ont abordé le thème en droit, en mathématique et en EMC. Ils ont ensuite réfléchi à un mur de prévention.

A l’aide d’un graffeur professionnel, ils ont dessiné et élaboré cette fresque qui contient quelques messages cachés.

Ce projet leur a permis d’acquérir des compétences diverses telles que favoriser l’approfondissement de la réflexion, développer des compétences orales à travers la pratique de l’argumentation ou encore analyser des situations juridiques en mobilisant des qualifications juridiques.

Voici un interview des élèves mené par Mme Mornet :

Pourquoi avez-vous fait ce projet ?

Nous avons fait ce projet car, en 2023, des femmes sont victimes de violences ( %) et ce projet nous permet de sensibiliser et faire passer un messages aux futures générations. C’est un sujet très important pour certains d’entre nous. Mais pour d’autres, cela a été imposé. Pour une élève, ce projet était important car elle aime dessiner et a donc pu s’exprimer différemment et s’épanouir.

Qu’est-ce que ce projet vous a apporté ?

Ce projet nous a apporté des connaissances artistiques : nous avons améliorer nos techniques de dessin.
Il nous a aussi permis d’acquérir des connaissances sur le question des violences faites aux femmes et cela nous rend plus aptes à aider les femmes victimes de violences par exemple avec le masque 19 et le signe de la main.
Il nous a permis d’approfondir des notions juridiques.
Enfin, il nous a apporté de la joie.

Qu’est-ce que vous avez aimé ou non dans le projet ?

Des élèves ont apprécié la liberté d’expression (orale et la créativité artistique). Ils ont aimé travailler en groupe, le fait d’avoir un projet qui fédère la classe, un projet avec un but.
D’autres élèves se sont sentis moins intéressés car la question ne les touche pas. Mais en y réfléchissant, ils peuvent être concernés un jour.

Le graffeur a aimé les échanges avec la classe malgré une implication variable des élèves…
Pour certains, l’ambiance a parfois été un peu agitée.